5642 réponses (0.1% du corpus) en rapport avec "crise" ont été trouvées et analysées en temps réel pour produire cette page, en respectant les filtres choisis.
4882 personnes (2.7% des répondants) se sont exprimées sur votre requête.
Les répondants ont eu la possibilité de remplir plusieurs questionnaires, regroupés en 4 grandes thématiques.
Il est toutefois possible que des réponses ayant un rapport avec votre requête crise soient présentes dans une thématique différente de celle lui étant naturellement attribuée.
D'autres sources de données, complémentaires à celles recueillies sur la plateforme du grand débat, sont amenées à être ajoutées à cet outil par la suite.
Les réponses proviennent de 90 questions différentes, réparties dans quatre questionnaires.
Ci-contre, vous trouverez le top 5 des questions dans lesquelles votre requête crise est présente.
1) Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ? (621 réponses)
2) Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ? (342 réponses)
3) Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ? (327 réponses)
4) Y a-t-il d'autres points sur l'organisation de l'Etat et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ? (323 réponses)
5) Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ? (278 réponses)
Ci-contre, vous trouverez la répartition des réponses associées à votre requête crise, par date de mise en ligne.
Rappelons que la plateforme du Grand Débat était accessible du 22 janvier au 8 mars avec un important pic de participation dans les premiers jours.
La requête crise est associée à différents concepts. Ci-dessous, vous trouverez les principaux concepts souvent évoqués en lien avec la requête.
La taille des mots est proportionnelle à l'importance du thème, et la couleur à la positivité moyenne des réponses dans lesquelles le thème apparaît. Plus d'informations sont disponibles dans la rubrique ("Analyse de sentiments") ci-dessous.
Répartition des résultats de la recherche crise selon le type de répondant, parmi les catégories suivantes :
La carte ci-contre présente la surreprésentation de votre requête crise par département. Plus la part de réponse traitant de votre requête est élevée dans un département, plus sa couleur est foncée.
La carte ci-contre permet d'analyser la répartition géographique des réponses en lien avec votre requête crise.
Elle indique les villes dans lesquelles on retrouve le plus de fois des réponses pertinentes par rapport à votre recherche, avec le top 10 suivant :
La visualisation des réponses pour les régions d'outre-mer sera très bientôt disponible.
(A titre indicatif)
La carte ci-contre présente la positivité moyenne des réponses retrouvées dans la recherche, agrégées au niveau des départements.
Pour ce faire, l'ensemble des réponses ayant un rapport avec votre recherche crise a été analysé. Selon le lexique et les tournures de phrases employées dans ces réponses, un algorithme détermine si celles-ci sont plutôt négatives, positives, ou neutres (voir encadré pour une explication sur la méthode).
Du fait de l'imperfection de ces méthodes, en français notamment, les résultats sont à interpréter avec précaution.
Ci-dessous, la liste des réponses associées à votre requête crise.
Chaque encadré correspond à une réponse qui fait figurer les termes de votre recherche, accompagnée de la question associée. En cliquant sur « Ouvrir », vous pourrez accéder à l’ensemble du questionnaire de la personne concernée, pour les quatre thématiques.
Remettre l'ISF, l'exit taxe, arrêter le CICE pour les grandes entreprises, refuser une partie de la dette dont les intérêts sont abusifs, arrêter d'engraisser les banques et les financiers malhonnêtes : ils se sont gaver sur la crise de 2008, ils se gaveront encore sur la prochaine crise... du moins ils espèrent, mais les contribuables ne paieront plus !
Ce défi ne durera pas si l'Europe se décide à enfin s'ouvrir. Il faut accepter les réfugiés, ne pas les considérer comme des ennemis et envahisseurs et aider les premiers pays d’accueil pour mettre fin à cette crise, car quand tout le monde aura été traité correctement, la crise se terminera.
Non; Toutes ces organisations ont déjà de fait un rôle consultatif. Il est important de discuter et peser les décisions avant qu'elles ne soit prises. mais pas après. Depuis plusieurs décennies, on observe que les débats et les blocages se poursuivent même après qu'une décision ait été prise dans le respect des règles de la concertation et des institutions (exemple caricatural de toutes les réformes scolaires). Cela conduit à une société bloquée par une incroyable résistance à tout changement, incapable de prendre des décisions vigoureuses et courageuses dont la nécessité est parfaitement diagnostiquée tant qu'une crise, voire une catastrophe, n'a pas fait sauter le couvercle, aujourd'hui la crise sociale, juste avant la crise climatique (qui est déjà là).
Oui; Donner beaucoup plus de pouvoir et de moyens au Parlement. Le gouvernement a beaucoup trop de pouvoir par rapport au Parlement ce qui contribue en partie à la crise actuelle. Les députés et les sénateurs ne sont pas suffisamment à l'écoute de leurs électeurs. La crise du prix de l, essence était largement prévisible par tout élu à l,ecoute de son territoire.
Redonner confiance. Faire que ce grand débat débouche sur du concret, du social,. Remettre de la morale dans la gestion des grosses entreprises. Il est difficile pour un ouvrier qui perd son travail de voir que des patrons touchent des primes (exorbitantes! ) De mon point de vue, je ne suis pas économiste, nous vivons plus une crise morale (à tous les niveaux) que d'une crise économique.
J'aimerais que l'on m'explique une chose ? En 2008 arrive la crise financière ,le baril de pétrole flambe pour atteindre environ 140 dollars le baril avec un prix à la pompe aux alentours de 1.40 euros le litre . Lors de la crise des gilets jaune ,le prix à la pompe est remonté à environ 1.40euros avec le baril qui oscille entre 40 et 60 dollars. Peut on m'expliquer ou est passé la baisse après la crise ?le litre à la pompe n'est jamais redescendu sous les 1 euro. on se moque peut être un peu des français non ? on fait comment si le baril remonte à 140 dollars ? on s'entretue ?
Les divers points abordés dans ce grand débat sont liés. Si nous redéfinissons nos priorités, sur un modèle de démocratie participative, nous trouverons des solutions à la crise environnementale, à la crise sociale (chômage) et financière (dette) entraînées par la mondialisation. Nous referons société en retrouvant un sentiment de liberté et de fierté d'appartenir à un pays ayant su sortir de son marasme.
Ce n’est pas un problème de confiance mais une crise de la représentation.
pas de probleme si nous n'étions pas en crise économique, ce ne serait pas un probleme
Peut on encore véritablement parler de sensibilité politique de nos jours ; il faut une gouvernance élargie gauche droite afin de contrer les extrêmes, l'histoire nous ayant montré ou cela peut mener (cf crise des années 30 à rapprocher de la crise actuelle avec montée du nazisme cadre l'extrême droite
Votre message a bien été envoyé.