Oui; De vraies pistes cyclables. Les pistes cyclables françaises sont une vaste plaisanterie. Lutter contre le vol et la dégradation. C'est un problème majeur quand on envisage de circuler en vélo. Multiplier les points d'ancrage de vélo en ville. Ex: rue principale commerçante et piétonne de Besançon, 3 emplacements à vélo, pour une ville qui se dit vélo-compatible, de qui se moque-t-on? Pour les transports de type Tram/bus, de vrais choix d'abonnements flexibles pour favoriser la multi-mobilité (dès fois vélo, dès fois tram, dès fois à pied donc abonnement tram mensuel rentabilisé en 20 jours d'utilisation: sans intérêt).

Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens; Le covoiturage|L'auto partage|Le transport à la demande|Les transports en commun|Le vélo|le vélo nécessite des modification de grandes échelle type pays nordiques;pas de travaux dans les ville qui ne prennent pas en compte infrastructure pour vélo

Oui; Des aides pour acheter un vélo électrique qui me permettrait d'aller plus loin et d'aller au travail en vélo, mes affaires de travail étant trop lourdes à porter sur un vélo "classique"

Oui; Le Grand Chambéry (intercommunalité) propose des vélo électrique mais il faut laisser une caution de 1000 euros et le coût de la location est élevé. Sur le plan national il faut instauré avec les intercommunalité ayant des agences de prêt vélo; de crée une loi pour permettre de protéger ces territoires contre le vol de ces vélos en intégrant une puce GPS dans le vélo. Et en contre-parti supprimé les cautions et ces territoires devront revoir à la baisse le prix de la location de vélo électrique.

Non; trop compliqué a utiliser sauf pour le vélo , mais faire les courses hebdomadaires avec un vélo , c'est pas simple , je ne vais pasacheter une charrette pour l'atteler a mon vélo. le temps des diligences est passé

aide financière aux déplacements en vélo (aller au travail en vélo = perdre la prise en charge transport et payer seul l'entretien du vélo) + poursuite des aménagements cyclables. clarification des aides possibles pour les rénovations immobilières

L'utilisation du vélo doit être mieux accompagnée par la multiplication d'emplacements pour garer son vélo de manière sécurisée. Combattre le vol du vélo en mettant en place un système de "carte grise".

Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens; Pour les approvisionnements un peu plus important un vélo électrique cargo serait idéal. Donc il faut créer des parkings à vélo dans les aires de stationnement des villes ou des supermarchés avec un gardien pour éviter les vols et les dégradations. Pour ce qui me concerne un vélo volé!!!!

Nous n'avons pas encore pris la mesure du bienfait des déplacements en vélo dans notre société. En effet, voici les bilans: -Un impact très faible sur l'environnement lors de la fabrication (poids des matières premières transformées 100 fois inférieur à une voiture) -Des trajets totalement décarbonés -Un rendement exceptionnel (300W pour 30km/h) -Un impact sur la santé positif (et donc pour les comptes de la sécurité sociale) Et malgré cela une prise en compte marginale des pouvoirs publiques dans le développement et la promotion du vélo. Le tout voiture reste la norme. Très peu d'investissement en faveur des voies cyclables par rapport à la route classique, des aménagements et une cohabitation dangereuse avec les véhicules motorisés, pas de politiques volontariste et à long terme pour le vélo. Pourquoi? Une industrie automobile encore trop puissante? Un confort personnel perdu synonyme de régression? Une perte de recette fiscale trop importante? Si nous voulons laisser à nos enfants un monde vivable il est temps d'avoir une vision d'avenir et le vélo est le porte drapeau de cet avenir. Je propose pour incité le développement du vélo de rendre éligible la "prime à la conversion automobile" l'achat d'un vélo neuf avec la répartition suivante de la prime : 30% pour l'acheteur, 60% pour la collectivité locale (à réinvestir en faveur des déplacements doux) et 10% pour l'état (dans un plan vélo à long terme). Par exemple, je suis imposable et je me débarrasse de ma voiture de 1999. La prime à la conversion est de 1000€. J'achète un vélo plutôt qu'une voiture récente, je récupère 300€, ma collectivité local 600€ et le plan vélo national 100€. PS: Comment une ville comme Paris peut-elle encore en 2019 donner autant de place aux voitures. Seuls les taxis, les transports en commun et les livreurs devraient pouvoir se déplacer en véhicule motorisé dans le 75.

Tout le monde a un vélo ou est capable d'en acheter un... je ne pense pas qu'il appartienne à la collectivité (par le biais de l'employeur ou de l'administration) de financer l'achat d'un vélo... Dans un tel cas, il s'agirait d'un gâchis pour les fonds publics ou des entreprises. Les gens peuvent faire l'effort de dépenser quelques dizaines d'euros pour acheter un vélo (même d'occasion). Il faut arrêter, dans cette société, d'assister les gens en leur finançant tout. Il faut que les gens s'assument ! Acheter un vélo est accessible à tout le monde.