114537 réponses (2.1% du corpus) en rapport avec "impôt" ont été trouvées et analysées en temps réel pour produire cette page, en respectant les filtres choisis.
72936 personnes (41.0% des répondants) se sont exprimées sur votre requête.
Les répondants ont eu la possibilité de remplir plusieurs questionnaires, regroupés en 4 grandes thématiques.
Il est toutefois possible que des réponses ayant un rapport avec votre requête impôt soient présentes dans une thématique différente de celle lui étant naturellement attribuée.
D'autres sources de données, complémentaires à celles recueillies sur la plateforme du grand débat, sont amenées à être ajoutées à cet outil par la suite.
Les réponses proviennent de 90 questions différentes, réparties dans quatre questionnaires.
Ci-contre, vous trouverez le top 5 des questions dans lesquelles votre requête impôt est présente.
1) Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ? (34758 réponses)
2) Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ? (19087 réponses)
3) Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ? (13850 réponses)
4) Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ? (12322 réponses)
5) Si oui, avez-vous déjà utilisé ce droit à l'erreur ? Si oui, à quelle occasion en avez-vous fait usage ? (6612 réponses)
Ci-contre, vous trouverez la répartition des réponses associées à votre requête impôt, par date de mise en ligne.
Rappelons que la plateforme du Grand Débat était accessible du 22 janvier au 8 mars avec un important pic de participation dans les premiers jours.
La requête impôt est associée à différents concepts. Ci-dessous, vous trouverez les principaux concepts souvent évoqués en lien avec la requête.
La taille des mots est proportionnelle à l'importance du thème, et la couleur à la positivité moyenne des réponses dans lesquelles le thème apparaît. Plus d'informations sont disponibles dans la rubrique ("Analyse de sentiments") ci-dessous.
Répartition des résultats de la recherche impôt selon le type de répondant, parmi les catégories suivantes :
La carte ci-contre présente la surreprésentation de votre requête impôt par département. Plus la part de réponse traitant de votre requête est élevée dans un département, plus sa couleur est foncée.
La carte ci-contre permet d'analyser la répartition géographique des réponses en lien avec votre requête impôt.
Elle indique les villes dans lesquelles on retrouve le plus de fois des réponses pertinentes par rapport à votre recherche, avec le top 10 suivant :
La visualisation des réponses pour les régions d'outre-mer sera très bientôt disponible.
(A titre indicatif)
La carte ci-contre présente la positivité moyenne des réponses retrouvées dans la recherche, agrégées au niveau des départements.
Pour ce faire, l'ensemble des réponses ayant un rapport avec votre recherche impôt a été analysé. Selon le lexique et les tournures de phrases employées dans ces réponses, un algorithme détermine si celles-ci sont plutôt négatives, positives, ou neutres (voir encadré pour une explication sur la méthode).
Du fait de l'imperfection de ces méthodes, en français notamment, les résultats sont à interpréter avec précaution.
Ci-dessous, la liste des réponses associées à votre requête impôt.
Chaque encadré correspond à une réponse qui fait figurer les termes de votre recherche, accompagnée de la question associée. En cliquant sur « Ouvrir », vous pourrez accéder à l’ensemble du questionnaire de la personne concernée, pour les quatre thématiques.
supprimer l'impôt sur la CSG non déductible et l'impôt sur la TVA sur les taxes sur le carburant : c'est inadmissible de faire payer de l'impôt sur l'impôt . Supprimer la TVA sur les médicaments remboursés et en parallèle, ne plus rembourser la pilule contraceptive ni l'avortement
Les personnes âgées en EHPAD qui ne sont pas soumis à l’impôt et qui ont des difficultés pour payer leur maison de retraite devraient avoir un crédit d’impôt et non pas une réduction d’impôt puisqu'elles n'en payent pas!!!!! A domicile elles avaient droit au credit d’impôt pour les aides ménagères.
Toute personne qui gagne un minimum de revenu devrait payer un impôt ( même un revenu issue des aides sociales ) Il faut réduire l’impôt des classes moyennes et augmenter les tranches d'imposition sur les plus hauts revenus. Il est utopique de penser récupérer plus d'impôt des ultra-riches par l’impôt sur le revenu ou une réforme de l'ISF qui à montré son inefficacité. Il est préférable d'instaurer un impôt pour tous citoyens Français quelques soit le pays ou il demeure.
L'impôt sur le revenu ne doit pas prendre en compte que le revenu mais la situation patrimoniale totale (notamment immobilière et mobilière). Il est par ailleurs aberrant que le calcul de l'impôt sur le revenu comprenne une grosse partie de CSG : on paie un impôt sur un impôt (double imposition).
La taxe d'habitation, sauf pour les foyers soumis à l'IFI La taxe sur l'audiovisuel (il y a de moins en moins de personnes qui regardent la télévision) L'impôt calculé sur la CSG, qui est déjà un impôt. Un impôt sur un impôt c'est quand même aberrant.
Impôt sur le revenus, plus de tranches......et prévoir un impôt dès le 1er euro pour sensibiliser les français à l'utilisation de l'impôt..avec une tranche basse et un impôt forfaitaire même modique (10 euros)
Réussir sans délais la transition énergétique, l’ excellence en efficacité énergétique, et la généralisation de l’ économie circulaire , en finançant par le biais de l’ impôt sur l’ Energie , la protection sociale par le travail des machines plutôt que par celui des hommes . L’ impôt sur l’ Energie n’ est pas une idée neuve , cet impôt avait été mis en avant de façon très proactive par Monsieur Eugène Schueller , le fondateur de L’ Oreal au milieu du sciecle précédent . Monsieur Schueller est l’ auteur de l’ ouvrage « l’ impôt sur l’ Energie » publié en 1952 au éditions du Rond Point . Monsieur Schueller soulignait notamment que l’ humanité n’ avait toujours pas réalisé que le travail des machines s’ était généralisé partout dans l’ économie en raison de son extrême compétitivité par rapport au travail de l’ homme et qu’ en conséquence il était possible de taxer massivement le travail des machines en instaurant l’ impôt sur l’ énergie sans prendre le risque que l’ humanité n’ utilise pas la totalité de l’ énergie disponible. Il est particulièrement instructif de revisiter l’ idée de Monsieur Schueller avec l’ éclairage de la réalité de notre monde actuel. On prend immédiatement conscience . -qu’ avec un impôt plus élevé sur les énergies fossiles et nucléaires que sur les énergies renouvelables , nous accélèrerons et réussirons la transition énergétique . -qu’ avec un prix plus élevé de l’ énergie grâce à l’ impôt sur l’ énergie nous atteindrons l’ excellence en efficacité énergétique et nous généraliserons l’ économie circulaire parce que l’ économie circulaire a la particularité d’ être beaucoup moins gourmande en énergie que l’ économie linéaire . De plus en plus d’ experts aujourd’hui concluent qu’il est regrettable pour l’ humanité de ne pas se diriger plus vigoureusement vers le 100% énergies renouvelables , l’ excellence en efficacité énergétique et la généralisation de l’ économie circulaire car ce manque de pro activité détruit la planète et empêche de développer une économie plus performante que l’ économie actuelle . La question est alors : pourquoi si c’ est meilleur pour la planète et meilleur pour l’ économie nous ne le faisons pas ou de façon insuffisante ? La réponse est claire : c’ est parce que l’ intérêt particulier des citoyens et des entreprises n’ est pas aligné avec le bien commun . Avec l’ Impôt sur l’ énergie, les citoyens et les entreprises ont un intérêt fort et immédiat à utiliser les énergies renouvelables, viser l’ excellence en efficacité énergétique et développer l’ économie circulaire. L’ impôt sur l’ énergie est un outil d’ une remarquable efficacité pour aligner intérêts particuliers et bien commun . Comme le dit si bien le philosophe Bernard Stiegler , c’ est quand un système arrive au bout de ses limites que l’ on peut espérer une bifurcation salvatrice , l’ impôt sur l’ énergie d ‘ Eugène Schueller ne serait-il pas un outil pouvant favoriser une telle bifurcation ? Pour fixer les idées, on peut penser à un impôt de 100 € par MW/h d’ énergie primaire , applicable à toutes les énergies mais qui serait doublé pour les énergies fossiles en raison de leur impact néfaste sur l’ effet de serre . Il convient de noter que l’ électricité renouvelable étant dans tous les cas primaire alors que l’ électricité nucléaire nécessitant 3 MW/h d’ énergie primaire sous forme de vapeur pour produire 1MW/h d’ électricité, l’ électricité renouvelable serait bien avantagée comme cela est souhaité . L’ instauration d’ un tel montant d’ impôt pourrait être progressif et s’ étaler sur une période de trente ans pour permettre une adaptation fluide et efficace (priorisation chronologique des investissements les plus rentables ). La principale objection que l’ on peut formuler à l’ encontre de l’ impôt sur l’ énergie est que celui-ci rendrait non compétitives des industries intenses en énergie face aux importations en provenance de concurrents étrangers . Cette objection peut facilement être contrée car l’ Union Européenne a historiquement fait la démonstration pendant plus de trente ans que l’ on peut renchérir massivement un facteur de coût important d’ une industrie sans perturber son développement pour autant que l’ on instaure aux frontières des compensations (prélèvements à l’ importation, restitutions à l’ exportation ) sur les produits transformés de cette industrie. Ainsi grâce à ce mécanisme, le prix des céréales qui ont été dans l’ UE , pendant une très longue période deux à trois fois plus élevés que sur le marché mondial n’ ont pas empêché l’ industrie de transformation des céréales de l’ UE de se developper . L’ Union Européenne peut ainsi instaurer aujourd’hui un impôt sur l’ énergie important sans risquer de détruire ses industries intensives en énergie en utilisant les mêmes mécanismes que ceux utilisés historiquement dans le cadre de la politique agricole commune : prélèvements à l’ importation et restitutions à l’ exportation sur les 20% de produits transformés qui consomment 80% de l’ énergie dans l’ industrie (loi de Pareto). Il convient également de noter que l’ Organisation mondiale du commerce prévoit que des mesures particulières peuvent être prises pour des motifs environnementaux . Si l’ impôt sur l’ énergie est tres vertueux dans sa phase « prélèvement » , en raison des signaux particulièrement sains qu’ il envoie au marché, il est souhaitable qu’il le soit également dans sa phase « utilisation des fonds collectés » . Ce but est atteint en affectant cet impôt au financement de la protection sociale et en allégeant simultanément le travail de l’ homme de cette charge . Ceci permet d’ augmenter le revenu net du travail sans coût supplémentaire pour l’ employeur et ainsi permettre au salarié/consommateur d’ absorber l’ augmentation des prix induite par l’ impôt sur l’ énergie . Le financement de la protection sociale par le travail des machines plutôt que par le travail de l’ homme devrait avoir un effet très rassurant pour l’ humanité qui s’ inquiète du développement exponentiel des machines . Compte tenu de la tres forte capacité de l’ impôt sur l’ énergie à collecter des fonds , on peut d’ ailleurs s’ interroger pour savoir si à terme l’ impôt sur l’ énergie ne doit pas financer le revenu universel . L’ impôt sur l’ énergie étant, comme la TVA , un impôt à la consommation , on peut s’ interroger sur le sens qu’ il y aurait dans ce cas à maintenir des prélèvements fiscaux sur l’ entrée d’ argent : revenus , plus values , successions/donations , bénéfices des entreprises . Le remplacement de ces impôts par un impôt sur le capital semblerait plus approprié (voir les recommandations du Comité Bastille : www.comitebastille.org). Ainsi la fiscalité pourrait être gérée avec trois impôts : le budget de l’ état pourrait être financé pour moitié par la TVA et pour l’ autre moitié par l’ Impôt sur le capital, la protection sociale serait financée par l’ impôt sur l’ Énergie. Cette vision est en résonance avec l’ excellent article , publié le 15/04/2014 , de Jean-Marc Vittori , le journaliste du quotidien « Les Échos » , intitulé : « quand la France inventait les impôts de la modernité » . Dans cet article , Jean-Marc Vittori mettait en scène trois personnages qui s’ intéressaient à la fiscalité au milieu du sciecle précédent : -Maurice Laure préconisant l’ impôt sur la consommation (la TVA) -Eugène Schueller préconisant l’ impôt sur l’ énergie -Maurice Allais préconisant l’ impôt sur le Capital . En fin d’ article , Jean-Marc Vittori écrit : « Imaginons une seconde que la France des années 1950 ait adopté non pas une proposition (la TVA) mais les trois , impôt sur la consommation (la TVA) , impôt sur l’ énergie, impôt sur le capital : le pays aurait aujourd’hui une fiscalité moderne adaptée au défis du XXIe sciecle »
Simplifier tous les impôts et taxes existantes en les remplaçant par un impôt unique, sans niche, pour tous les citoyens sans exception (impôt sur le revenu, impôt foncier, taxe d'habitation, impôt sur la fortune, impôt foncier, redevance TV, CSG, TVA, Droits de mutation sur les bine immobilier, etc.). Supprimer le doit de vote et la gratuité des études et des soins pour tous citoyens ne payants pas ses impôts en France.
L'objectif est de valoriser le travail, l'activité. Que l'inactivité, la succession et le patrimoine soient au contraire plus taxés. Simplifier l'ensemble avec : - un impôt sur le travail revu, abaissé et généralisé; - un impôt sur le patrimoine (succession) qui concernerait tous les français; - un impôt sur la consommation, augmenté en général, mais baissé sur les produits de première nécessité. Quelques principes forts : - Tous les français doivent payer l'impôt, des plus pauvres (avec une contribution modeste) aux plus riches; s'assurer que l’impôt soit vraiment progressif jusqu'au dernier pourcentage des plus hauts revenus. Ne pas dépasser 50% des revenus toutefois. - De la même façon, ne pas laisser des impôts spécifiques à une certaine catégorie de la population : la suppression de la taxe d'habitation doit s'appliquer à tous. - Tous les revenus doivent contribuer à l'impôt, y compris les allocations diverses. Un salarié à 2000€ par mois ne doit pas payer plus d'impôt qu'une personne bénéficiant d'aides diverses avec un salaire moindre mais un revenu global plus important. - Revoir l'imposition salaire/patrimoine et donc succession. L’impôt sur le travail doit être plus faible que tout impôt sur le patrimoine/succession qui eux ne favorisent pas l'économie - Lutter contre l'évasion fiscale dès plus riche, mais aussi le travail au noir (suppression des allocations comme peine)
La TVA, l'impôt le plus injuste. Cela dit, baisser les impôts ne m'apparaît pas comme une priorité, la priorité c'est de faire payer l'impôt de façon égalitaire... Le consentement à l'impôt vient de l'égalité devant l'impôt. Et on en est loin...
Votre message a bien été envoyé.