105399 réponses (1.9% du corpus) en rapport avec "retraite" ont été trouvées et analysées en temps réel pour produire cette page, en respectant les filtres choisis. 
71697 personnes (40.3% des répondants) se sont exprimées sur votre requête.


Comment utiliser l'outil ?

Vous pouvez filtrer les résultats de la recherche par zone géographique (en haut à gauche) ou par source de données (à droite).
Les premières parties de cette page visent à donner une information agrégée sur les résultats de la recherche. Le bas de page permet de se plonger directement dans les différentes contributions qui répondent à votre recherche.


Thématiques associées aux réponses

Les répondants ont eu la possibilité de remplir plusieurs questionnaires, regroupés en 4 grandes thématiques.

Il est toutefois possible que des réponses ayant un rapport avec votre requête retraite soient présentes dans une thématique différente de celle lui étant naturellement attribuée.

D'autres sources de données, complémentaires à celles recueillies sur la plateforme du grand débat, sont amenées à être ajoutées à cet outil par la suite.

Origine des réponses

Les réponses proviennent de 90 questions différentes, réparties dans quatre questionnaires.

Ci-contre, vous trouverez le top 5 des questions dans lesquelles votre requête retraite est présente.

1) Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous... (29727 réponses)

2) Si vous avez été amené à préparer votre retraite, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée : (21790 réponses)

3) Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ? (8281 réponses)

4) Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ? (6339 réponses)

5) Si vous avez été amené à mettre fin à votre activité, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée : (3522 réponses)

+

Répartition des réponses dans le temps

Ci-contre, vous trouverez la répartition des réponses associées à votre requête retraite, par date de mise en ligne.

Rappelons que la plateforme du Grand Débat était accessible du 22 janvier au 8 mars avec un important pic de participation dans les premiers jours.

Thèmes associés

La requête retraite est associée à différents concepts. Ci-dessous, vous trouverez les principaux concepts souvent évoqués en lien avec la requête.

La taille des mots est proportionnelle à l'importance du thème, et la couleur à la positivité moyenne des réponses dans lesquelles le thème apparaît. Plus d'informations sont disponibles dans la rubrique ("Analyse de sentiments") ci-dessous. 

âge (174 réponses)
ans (143 réponses)
reculer (108 réponses)
départ (98 réponses)
retraites (83 réponses)
montant (74 réponses)
partir (60 réponses)
complémentaire (50 réponses)
caisse (47 réponses)
age (42 réponses)

Types de répondants

Répartition des résultats de la recherche retraite selon le type de répondant, parmi les catégories suivantes :

- Citoyen / Citoyenne
- Elu / Elue et institution
- Organisation à but lucratif
- Organisation à but non lucratif

Densité de réponses

La carte ci-contre présente la surreprésentation de votre requête retraite par département. Plus la part de réponse traitant de votre requête est élevée dans un département, plus sa couleur est foncée.



Created with Raphaël 2.2.0 Les moins densesIntermédiairesLes plus denses
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Répartition géographique

La carte ci-contre permet d'analyser la répartition géographique des réponses en lien avec votre requête retraite. Elle indique les villes dans lesquelles on retrouve le plus de fois des réponses pertinentes par rapport à votre recherche, avec le top 10 suivant :

Paris (7081 réponses)
Lyon (1493 réponses)
Marseille (1206 réponses)
Toulouse (1198 réponses)
Nantes (811 réponses)
Bordeaux (794 réponses)
Montpellier (683 réponses)
Nice (666 réponses)
Strasbourg (521 réponses)
Rennes (483 réponses)

Created with Raphaël 2.2.0 Moins de 5 réponsesEntre 5 et 100 réponsesEntre 100 et 500 réponsesPlus de 500 réponses

La visualisation des réponses pour les régions d'outre-mer sera très bientôt disponible.



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Analyse de sentiments

(A titre indicatif)

La carte ci-contre présente la positivité moyenne des réponses retrouvées dans la recherche, agrégées au niveau des départements. Pour ce faire, l'ensemble des réponses ayant un rapport avec votre recherche retraite a été analysé. Selon le lexique et les tournures de phrases employées dans ces réponses, un algorithme détermine si celles-ci sont plutôt négatives, positives, ou neutres (voir encadré pour une explication sur la méthode).
Du fait de l'imperfection de ces méthodes, en français notamment, les résultats sont à interpréter avec précaution.

Comment fonctionne l'analyse de sentiments ?

L’analyse de sentiments permet de déterminer la tonalité émotionnelle qui se cache derrière une phrase ou un paragraphe. L’algorithme apprend à identifier la positivité des phrases à partir de corpus annotés (les critiques de cinéma par exemple). Ce qui a été appris peut ensuite être réexploité dans des bases non annotées, comme celle du Grand Débat.



Created with Raphaël 2.2.0 Les plus négatifsIntermédiairesLes plus positifs
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Détail des réponses

Ci-dessous, la liste des réponses associées à votre requête retraite.

Chaque encadré correspond à une réponse qui fait figurer les termes de votre recherche, accompagnée de la question associée. En cliquant sur « Ouvrir », vous pourrez accéder à l’ensemble du questionnaire de la personne concernée, pour les quatre thématiques.




En savoir plus


Etat Si vous avez été amené à préparer votre retraite, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :


Les caisse de retraite (principale et complémentaire) m’ont demandé des information redondantes, déjà en leur possession. Près de huit mois après ma demande de retraite, je ne connais toujours pas le montant définitif de ma retraite complémentaire. Les caisses de retraite complémentaire ne sont pas à proprement parlé une administration mais y sont assimilables, en tant qu’organisation paritaire.

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Fiscalité Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?


CSG et CRDS. Donner la possibilité à chacun de cotiser pour la retraite ou d'effectuer sa retraite par capitalisation. Je paye plus de 20 000 euros de cotisation retraite par an, je pourrai prendre ma retraite à taux plein à 69 ans et 9 mois. L'espérance de vie moyenne d'un homme et de 79 ans et 8 mois. Or je ne profiterez jamais de l'équivalent de ce que j'aurais cotiser dans ma vie lors de ma retraite. Alors que si j'avais capitalisez 20 000 euros par ans durant toute ma carrière et placer cet aragent, j'aurais une meilleure retraite que celle que j'aurais par le système de répartition.

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Fiscalité Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?


sur la carte de visite de chaque elu devrait figurer l indemnité qu il recoit pourquoi un elu recoit il une retraite de chacun des postes qu il a occupé, une retraite de maire plus une retraite de conseiller plus une retraite de deputé plus une retraite de senateur alors que sa seule caisse de ressource est alimentée par les impots dans le privé quelqu un qui passe de Renault à Citroen à peugeot ne cumule pas trois retraites

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Etat Y a-t-il d'autres points sur l'organisation de l'Etat et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?


Le programme du candidat Macron pour les retraites est toujours disponible sur : //en-marche.fr/emmanuel-macron/le-programme/retraites : « Les cotisations, aux régimes de base comme aux régimes complémentaires, qu’elles soient versées sur les bases de revenus ou acquises au titre de la solidarité (pour les chômeurs par exemple) seront inscrites sur un compte individuel et revalorisées chaque année... » « Le total des droits accumulés sera converti au moment de la retraite en une pension, à l’aide d’un coefficient de conversion fonction de l’âge de départ et de l’année de naissance. » 1- Sur l’équité du futur système de retraite : Dans un système de retraite à compte cotisation retraite (aussi dit compte notionnel) les cotisations cumulées et actualisées sont directement exprimées en euros courants et seront converties en pension en fonction de l’espérance de vie au moment du départ en retraite.. Les cotisations retraites sont un revenu du travail de la période active de la vie professionnelle qui est différé pour garantir un revenu pendant la retraite. Ces cotisations sont déductibles du revenu imposable et les retraites font partie des revenus imposables. Cette déduction est bien ancrée dans notre paysage fiscal. Que toutes les cotisations (assurance maladie, retraite) soient déductibles du revenu imposable est un aspect important pour la bonne acceptation de l’impôt sur le revenu (IR) et fait partie des hypothèses retenu dans ce document. Pour les cotisants qui ne payent pas d’impôt sur le revenu (environ 50 % des salariés), 1 euro cotisé est en fait 1 euro enlevé du pouvoir d’achat qui serait disponible sans ces cotisations. Cet euro se traduira par un revenu de x € à la retraite et le retraité ne paiera probablement pas d’impôt sur ses revenus. Pour les cotisants qui ont un taux d’imposition à l’IR par exemple de 20 %, 1 euro cotisé est en fait 0,8 euro enlevé du pouvoir d’achat qui serait disponible sans ces cotisations. Cet euro se traduira par un revenu de x € à la retraite et le retraité paiera probablement un impôt sur le revenu avec un taux d’imposition plus faible que 20 %. Avec un système à compte cotisation retraite en euros, le coût réel de sa cotisation retraite est de 100 % de sa valeur nominale pour un cotisant qui a des revenus insuffisants pour payer des impôts sur le revenu alors que pour un cotisant avec un taux moyen d’imposition de 20 % le coût réel de sa cotisation n’est que de 80 % de sa valeur, les 20 autres % sont en fait payés indirectement par tous les contribuables. Pour que le système soit équitable le taux moyen d’imposition du cotisant devrait être pris en compte dans l’inscription au compte individuel. Le « 1 euro cotisé » devrait donc être le « 1 euro réellement payé-cotisé » pour que le système soit juste. Mise en place possible : Pour l’année n, utiliser le taux moyen d’imposition du cotisant pour abonder le compte cotisation retraite : Compte cotisation retraite année n = Compte cotisation retraite année n-1 x coefficient de revalorisation année n + Somme des cotisations de l’année n (1- taux d’imposition de l’année n) Utilisation de ces cotisations non contributives : Les cotisations qui ne donneraient pas de droits de retraite peuvent servir à augmenter (un peu) toutes les retraites versées. Mais, il me semble préférable que ces cotisations qui ne donneraient pas de droits de retraite devraient servir à des redistributions entre cotisants et retraités. Par exemple augmenter les petites retraites « sous le seuil de pauvreté ». Avec des calcules simplifiés, je trouve que ces cotisations non contributives pourraient représenter environ 7 % des cotisations. Autres remarques ou conséquences de ce système équitable : 1.1- Pas de plafond aux revenus soumis aux cotisations Avec cette proposition, le système de retraite devient équitable. Plus les revenus soumis aux cotisations sont élevés, plus la part payée qui devrait servir à des redistributions sera importante. Il n’y a aucune raison que tous les revenus d’activités ne soient pas soumises aux cotisations retraite et un plafond pour les cotisations n’a pas de sens. 1.2- Pas d’aide fiscale à d’autres systèmes d’épargne retraite : Le système universel devient équitable avec ses cotisations déductibles des revenus soumis à l’IR et ses droits acquis calculés en fonction du taux moyen d’imposition à l’IR. Il serait inéquitable d’accorder la déduction des cotisations à d’autres systèmes de retraite qui auraient des droits ne tenant pas compte du taux moyen d’imposition à l’IR. 2- Sur l’âge de départ en retraite : « chacun pourra mieux choisir son âge de départ » La proposition du système universel de retraite consiste pour chaque travailleur d’inscrire ses cotisations retraite (pour les salariés, cotisations patronales + cotisations salariales) sur un compte individuel. Ce compte individuel devrait être exprimé en euros actualisés. Le total des droits accumulés est converti au moment de la retraite en une pension, à l’aide d’un coefficient de conversion fonction de l’âge de départ et de l’année de naissance, c’est à dire de l’espérance de vie au moment du départ en retraite. En 2015 (source INSEE) l’espérance de vie à 60 ans est de 22,9 ans pour les hommes, 27,4 ans pour les femmes et de 25,2 en moyenne. L’espérance de vie à 65 ans est de 19,1 ans pour les hommes et de 23,0 pour les femmes. Notons que prendre en compte la moyenne espérance de vie hommes-femmes est un moyen d’augmenter (d’environ 10%) la retraite des femmes. Rendre flexible l’âge de départ à la retraite devient alors facile : il suffit de prendre en compte l’espérance de vie du demandeur. Ceux qui ont encore des charges d’enfants à 60 ans préféreront partir un peu plus tard. Ceux qui n’ont plus de charges d’enfants et sont propriétaires de leur logement pourront choisir un départ précoce avec une pension plus faible. Un départ à 60 ans donnerait une pension d’environ 16 % plus faible qu’un départ à 65 ans. Cette conversion, du compte individuel en pension peut facilement être documentée et accessible à tous par un simulateur. La seule vraie contrainte concerne les « petites retraites ». Ceux qui ont peu cotisés, s’ils partent « trop tôt », auraient une retraite « sous le seuil de pauvreté ». Le système équitable expliqué précédemment « dégage » quelques ressources mais il sera nécessaire néanmoins d’établir une limite, par exemple ne pas partir en retraite « sous le seuil de pauvreté » avant tel ou tel âge. 3- Les pensions de réversion : « un choix individuel au moment de partir en retraite » Une pension de réversion peut permettre au conjoint survivant d’avoir un niveau de vie proche de celui qui était celui du couple avant le décès. Pour simplifier à l’extrême, prenons le cas d’un couple où chacun a la même pension P et pas d’autres revenus. Le niveau de vie de chacun est alors 2 x P / 1,5 = 1,33 P (il y a 1,5 unités de consommation dans un couple sans charge de famille). Après le décès, le niveau de vie du conjoint survivant devient P / 1 , soit une diminution de 25 % de son niveau de vie. S’il y avait une pension de réversion de 33 % de la pension initiale du conjoint décédé, il n’y aurait pas chute du niveau de vie. Les pensions de réversions sont aussi un « coup de pouce » aux retraites des femmes qui sont en générale plus faibles que celles des hommes et une espérance de vie plus grande. Ce dispositif, qui devrait concerné les couples mariés ou pacsés, peut être considéré comme injuste pour les célibataires (ou divorcés). (Un célibataire avec une pension P a un niveau de vie P.) Le nouveau régime du système universel de retraites devra définir les règles d’accès à ces réversions qui aujourd’hui sont disparate entre régimes. La question importante est de définir le financement de ces pensions de réversion. Partons du principe que ce n’est pas une question de solidarité nationale et que cela ne relève que d’une redistribution interne au système de retraite. Il me semble que ce serait inéquitable de mettre à contribution les célibataires ou divorcés (surtout célibataires femmes ou divorcées qui, en moyenne, ont des revenus plus faibles que les hommes). Laissons à chaque cotisant le choix, lors de sa demande de conversion de ses cotisations retraites en pension, entre avoir une pension calculée avec sa seule espérance de vie ou avoir une pension (un peu plus faible) calculée avec son espérance de vie et celle de son conjoint qui pourrait alors bénéficier à son décès d’une pension de réversion de x % ( % fixe ou % choisi lors de la demande de départ en retraite).

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Fiscalité Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?


Le programme du candidat Macron pour les retraites est toujours disponible sur : //en-marche.fr/emmanuel-macron/le-programme/retraites : « Les cotisations, aux régimes de base comme aux régimes complémentaires, qu’elles soient versées sur les bases de revenus ou acquises au titre de la solidarité (pour les chômeurs par exemple) seront inscrites sur un compte individuel et revalorisées chaque année... » « Le total des droits accumulés sera converti au moment de la retraite en une pension, à l’aide d’un coefficient de conversion fonction de l’âge de départ et de l’année de naissance. » 1- Sur l’équité du futur système de retraite : Dans un système de retraite à compte cotisation retraite (aussi dit compte notionnel) les cotisations cumulées et actualisées sont directement exprimées en euros courants et seront converties en pension en fonction de l’espérance de vie au moment du départ en retraite.. Les cotisations retraites sont un revenu du travail de la période active de la vie professionnelle qui est différé pour garantir un revenu pendant la retraite. Ces cotisations sont déductibles du revenu imposable et les retraites font partie des revenus imposables. Cette déduction est bien ancrée dans notre paysage fiscal. Que toutes les cotisations (assurance maladie, retraite) soient déductibles du revenu imposable est un aspect important pour la bonne acceptation de l’impôt sur le revenu (IR) et fait partie des hypothèses retenu dans ce document. Pour les cotisants qui ne payent pas d’impôt sur le revenu (environ 50 % des salariés), 1 euro cotisé est en fait 1 euro enlevé du pouvoir d’achat qui serait disponible sans ces cotisations. Cet euro se traduira par un revenu de x € à la retraite et le retraité ne paiera probablement pas d’impôt sur ses revenus. Pour les cotisants qui ont un taux d’imposition à l’IR par exemple de 20 %, 1 euro cotisé est en fait 0,8 euro enlevé du pouvoir d’achat qui serait disponible sans ces cotisations. Cet euro se traduira par un revenu de x € à la retraite et le retraité paiera probablement un impôt sur le revenu avec un taux d’imposition plus faible que 20 %. Avec un système à compte cotisation retraite en euros, le coût réel de sa cotisation retraite est de 100 % de sa valeur nominale pour un cotisant qui a des revenus insuffisants pour payer des impôts sur le revenu alors que pour un cotisant avec un taux moyen d’imposition de 20 % le coût réel de sa cotisation n’est que de 80 % de sa valeur, les 20 autres % sont en fait payés indirectement par tous les contribuables. Pour que le système soit équitable le taux moyen d’imposition du cotisant devrait être pris en compte dans l’inscription au compte individuel. Le « 1 euro cotisé » devrait donc être le « 1 euro réellement payé-cotisé » pour que le système soit juste. Mise en place possible : Pour l’année n, utiliser le taux moyen d’imposition du cotisant pour abonder le compte cotisation retraite : Compte cotisation retraite année n = Compte cotisation retraite année n-1 x coefficient de revalorisation année n + Somme des cotisations de l’année n (1- taux d’imposition de l’année n) Utilisation de ces cotisations non contributives : Les cotisations qui ne donneraient pas de droits de retraite peuvent servir à augmenter (un peu) toutes les retraites versées. Mais, il me semble préférable que ces cotisations qui ne donneraient pas de droits de retraite devraient servir à des redistributions entre cotisants et retraités. Par exemple augmenter les petites retraites « sous le seuil de pauvreté ». Avec des calcules simplifiés, je trouve que ces cotisations non contributives pourraient représenter environ 7 % des cotisations. Autres remarques ou conséquences de ce système équitable : 1.1- Pas de plafond aux revenus soumis aux cotisations Avec cette proposition, le système de retraite devient équitable. Plus les revenus soumis aux cotisations sont élevés, plus la part payée qui devrait servir à des redistributions sera importante. Il n’y a aucune raison que tous les revenus d’activités ne soient pas soumises aux cotisations retraite et un plafond pour les cotisations n’a pas de sens. 1.2- Pas d’aide fiscale à d’autres systèmes d’épargne retraite : Le système universel devient équitable avec ses cotisations déductibles des revenus soumis à l’IR et ses droits acquis calculés en fonction du taux moyen d’imposition à l’IR. Il serait inéquitable d’accorder la déduction des cotisations à d’autres systèmes de retraite qui auraient des droits ne tenant pas compte du taux moyen d’imposition à l’IR. 2- Sur l’âge de départ en retraite : « chacun pourra mieux choisir son âge de départ » La proposition du système universel de retraite consiste pour chaque travailleur d’inscrire ses cotisations retraite (pour les salariés, cotisations patronales + cotisations salariales) sur un compte individuel. Ce compte individuel devrait être exprimé en euros actualisés. Le total des droits accumulés est converti au moment de la retraite en une pension, à l’aide d’un coefficient de conversion fonction de l’âge de départ et de l’année de naissance, c’est à dire de l’espérance de vie au moment du départ en retraite. En 2015 (source INSEE) l’espérance de vie à 60 ans est de 22,9 ans pour les hommes, 27,4 ans pour les femmes et de 25,2 en moyenne. L’espérance de vie à 65 ans est de 19,1 ans pour les hommes et de 23,0 pour les femmes. Notons que prendre en compte la moyenne espérance de vie hommes-femmes est un moyen d’augmenter (d’environ 10%) la retraite des femmes. Rendre flexible l’âge de départ à la retraite devient alors facile : il suffit de prendre en compte l’espérance de vie du demandeur. Ceux qui ont encore des charges d’enfants à 60 ans préféreront partir un peu plus tard. Ceux qui n’ont plus de charges d’enfants et sont propriétaires de leur logement pourront choisir un départ précoce avec une pension plus faible. Un départ à 60 ans donnerait une pension d’environ 16 % plus faible qu’un départ à 65 ans. Cette conversion, du compte individuel en pension peut facilement être documentée et accessible à tous par un simulateur. La seule vraie contrainte concerne les « petites retraites ». Ceux qui ont peu cotisés, s’ils partent « trop tôt », auraient une retraite « sous le seuil de pauvreté ». Le système équitable expliqué précédemment « dégage » quelques ressources mais il sera nécessaire néanmoins d’établir une limite, par exemple ne pas partir en retraite « sous le seuil de pauvreté » avant tel ou tel âge. 3- Les pensions de réversion : « un choix individuel au moment de partir en retraite » Une pension de réversion peut permettre au conjoint survivant d’avoir un niveau de vie proche de celui qui était celui du couple avant le décès. Pour simplifier à l’extrême, prenons le cas d’un couple où chacun a la même pension P et pas d’autres revenus. Le niveau de vie de chacun est alors 2 x P / 1,5 = 1,33 P (il y a 1,5 unités de consommation dans un couple sans charge de famille). Après le décès, le niveau de vie du conjoint survivant devient P / 1 , soit une diminution de 25 % de son niveau de vie. S’il y avait une pension de réversion de 33 % de la pension initiale du conjoint décédé, il n’y aurait pas chute du niveau de vie. Les pensions de réversions sont aussi un « coup de pouce » aux retraites des femmes qui sont en générale plus faibles que celles des hommes et une espérance de vie plus grande. Ce dispositif, qui devrait concerné les couples mariés ou pacsés, peut être considéré comme injuste pour les célibataires (ou divorcés). (Un célibataire avec une pension P a un niveau de vie P.) Le nouveau régime du système universel de retraites devra définir les règles d’accès à ces réversions qui aujourd’hui sont disparate entre régimes. La question importante est de définir le financement de ces pensions de réversion. Partons du principe que ce n’est pas une question de solidarité nationale et que cela ne relève que d’une redistribution interne au système de retraite. Il me semble que ce serait inéquitable de mettre à contribution les célibataires ou divorcés (surtout célibataires femmes ou divorcées qui, en moyenne, ont des revenus plus faibles que les hommes). Laissons à chaque cotisant le choix, lors de sa demande de conversion de ses cotisations retraites en pension, entre avoir une pension calculée avec sa seule espérance de vie ou avoir une pension (un peu plus faible) calculée avec son espérance de vie et celle de son conjoint qui pourrait alors bénéficier à son décès d’une pension de réversion de x % ( % fixe ou % choisi lors de la demande de départ en retraite).

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Fiscalité Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...


Augmenter le temps de travail|Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|En finir avec la retraite par repartition seule autoriser un mix avec retraite publique + PRIVE.pourqoi pas une retraite avec les regimes actuels'pas inferieur au smic) améliorer par une retraite privée au choic des francais

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Fiscalité Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?


Les années de travail ainsi que les cotisations versées tout au long d'une vie permettent à chacun de décider de son âge de départ à la retraite compte tenu des montant de retraite calculés par l'assurance retraite et les caisses de retraite. Ils représentent l'engagement fait à chaque Français, de recevoir cette somme en euros "constants" tout au long de sa retraite. Désindexer les retraites de l'inflation et du coût de la vie constitue une rupture grave de cet engagement et un saut dans l'inconnu pour des millions de retraités...

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Démocratie Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?


Fournir toutes les informations sur le coût total de tous les intervenants de l'état : Présidents de la République en fonction ou en retraite et leurs conjoints, Ministres et personnels des ministères en fonction ou en retraite, personnels du gouvernement en fonction ou en retraite, Députés, Sénateurs, et leurs équipes en fonction ou en retraite. Détail des dépenses des Collectivités par catégorie (personnel, matériel, déplacements...)

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Etat Si vous avez été amené à préparer votre retraite, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :


J'ai suivi la préparation de ma mère à la retraite. Une fois son activité terminée, elle à du attendre quasiment 1 an avant de toucher sa retraite. Elle a cotisé durant sont activité à plusieurs caisses de retraite, mais cela n'est pas une raison pour que la mise en place de la retraite prenne autant de temps.

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Etat Si vous avez été amené à créer une entreprise, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :


Création d'une EURL Quelques difficultés normales. En revanche, dans le cadre de l'emploi retraite, il est injuste de verser des cotisations pour une retraite sans aucun retour. Solidarité oui, mais pas au tarif plein (CIPAV) ! Le versement d'une somme à la fin de la période d'emploi retraite "retraite définitive.." serait une solution équitable

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